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Webmarketing : que font vos concurrents en 2015

  • THOMAS Stéphanie
  • 27 juil. 2015
  • 3 min de lecture

Le 1er juillet les experts du digital marketing se sont réunis à Paris autour d'une conférence organisée par Adobe et Valtech.

Cette étude est réalisée sur près de 300 directeurs et responsables webmarketing. Elle présente les grandes tendances en terme de digital : investissements prévus en 2015, quels sont les attentes de ces dépenses, quels sont les données étudiées par les décideurs, quels sont les leviers préférés ...

1. Part du budget digital dans le budget global

En 2015, 32% des annonceurs mettent 10 à 20% de leur budget pub dans le web. Les pures playeurs s'ouvrent à d'autres leviers (beaucoup on utilisés la TNT par exemple). Seulement 7 % des acteurs mettent 80 à 100% dans le web en 2015 contre 11% en 2014. Et 54% misent + de 20% de leur budget pub dans le web.

Conclusion : Les pure playeurs diversifient leur source d'acquisition. Il reste encore de nombreux annonceurs à convertir et à accompagner vers le web....

2. Où vont les principales dépenses ?

Même si encore près de 45% des annonceurs ne sont pas présents sur mobile, les applications mobiles représentent la plus grosse part des investissements. Elles sont suivies de la segmentation de l'audience (tout ce qui touche au e-CRM) puis du datamining et Big Data et des réseaux sociaux.

Conclusion : Le mobile donne un nouvel élan au web. Les data que l'on peut collecter sur le web sont de plus en plus décortiquées, analysées afin de permettre un discours 1 to 1 aux annonceurs et c'est ce que l'on retrouve notamment sur les réseaux sociaux. Le consommateur est au coeur de la stratégie. Tout est fait pour l'amener à sortir sa CB.

3. Quels sont les principaux leviers d'acquisition et fidélisation ?

A cette question, nous sommes heureux de voir que le traditionnel emailing reste en tête. Même si aujourd'hui il est accompagné du SMS (et oui le mobile prend de l'importance). Le SEO est en deuxième position, car un bon SEO permet un bon référencement du site à ROI intéréssant. Les bannières et partenariats publicitaires suivent de près le SEO. (nous sommes ici certainement sur de gros annonceurs ayant une forte notoriété et qui ont du budget pour faire du display) Le SEM (avec Adwords qui occupe 85% des dépenses) est en 4eme position.

Le off line arrive ensuite avec le papier et ses QR code.

Chez e-clictic nous pouvons vous accompagner sur tous les leviers d'acquisition on-line.

4. Une fois toutes ces actions lancées, quels sont données qui sont étudiées par les décideurs pour mesurer l'efficacité de leur stratégie?

Ce qui importe les décideurs c'est avant tout que les actions publicitaires leur rapportent plus que ce qu'elles ne coutent. En effet l'enveloppe budgétaire dédiée au webmarketing n'est pas vu comme une dépense mais un investissement rentable. Et c'est ce que nous faisons chez e-clictic pour les annonceurs que nous accompagnons sur le long terme. Ce qui importe le plus les décideurs : le trafic qualifié (nombre de clics utiles) ces clics sont généralement équivalent au nombre de visiteurs uniques sur le site (sauf si votre site a des problème de serveurs, si les images mettent du temps à charger ...Mais en règle générale 1clic unique = 1 visiteur unique), les conversions arrivent en 3 eme position. Les conversions se sont les ventes ou les demandes de devis pour les sites de services. En 4eme position, on trouve la recherche de notoriété avec l'étude des pages vues. Il s'agit ici uniquement de visibilité sans action. Le taux d'engagement est une notion récente avec l'arrivée des réseaux sociaux. Il s'agit du nombre de like, de followers, ...

Conclusion : Chez e-clictic notre objectif est avant tout de favoriser vos conversions

Sources : Pour accéder à l'intégralité de l'étude suivez ce lien : http://fr.slideshare.net/yannlegigan/baromtre-du-digital-marketing-2015-adobe-valtech

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